Intéressé(e)s par l'une ou l'autre des oeuvres dans cette collection?
L'histoire des femmes, cheveux comme langage visuel, solidarité des femmes, emancipation
Les séries Wade in the Water et I See Women as Trees de Taiye Idahor engagent un dialogue profond sur l'héritage, l'identité et l'interconnexion des histoires des femmes. Dans ces œuvres, Idahor transforme les cheveux en un puissant symbole qui traverse les thèmes du mouvement, de l'enracinement et de la découverte de soi, invitant les spectateurs à contempler les héritages durables de l'ascendance.
Dans la série Wade in the water, les femmes naviguent dans une étendue ouverte mais incertaine, renforçant l'idée que l'identité est un processus fluide et dynamique.
S'inspirant de l'hymne spirituel Wade in the water, la série évoque la survie, la liberté et la quête d'identité.
Dans la série Wade in the water, les femmes apparaissent comme des flotteurs ou des nageuses dans cette mer de cheveux, leurs têtes émergeant comme des îles dans un océan de mémoire et d'ascendance.
Dans la série Wade in the water, l'ambiguïté des orientations des femmes reflète la recherche permanente d'une appartenance, d'un foyer et d'une définition de soi.
La série Wade in the water tire son nom de l'hymne gospel américain utilisé, à l'époque de l'esclavage, pour dire aux esclaves de s'enfuir par l'eau afin d'éviter d'être traqués par les chiens des esclavagistes.
Dans la série "I see women as trees"
L'expression « ne cherchez pas Béthel » apparaît dans Amos 5:5, où le prophète Amos exhorte le peuple d'Israël à se détourner des pratiques idolâtres et à se concentrer sur l'adoration de Dieu seul.
Deux femmes debout sur une terrasse, regardant les grands espaces et le ciel, les bras entrelacés en signe de solidarité.
Faisant partie de la série « I see women as trees », cette œuvre parle de recherche spirituelle, d'émancipation et de sororité.
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